RebeldeMule

No te preocupes, estoy bien
Je vais bien, ne t'en fais pas
Philippe Lioret (Francia, 2006) [Color, 96 m.].



(Wikipedia | Filmaffinity)

[fuente] Claire es una joven de 19 años. Cuando regresa a casa después de vacaciones, sus padres le dicen que Loïc, su hermano gemelo, se ha ido de casa tras una fuerte discusión con su padre. Como Loïc no se pone en contacto con ella, Lili termina por creer que algo malo ha sucedido, y decide ir en su busca...

En Allociné se escribió:Comme elle rentre de vacances, Lili, dix-neuf ans apprend par ses parents que Loïc, son frère jumeau, suite à une violente dispute avec son père, a quitté la maison. Loïc ne lui donnant toujours pas de nouvelle, Lili finit par se persuader qu'il lui est arrivé quelque chose. Atteinte dans sa chair, elle ne s'alimente plus et dépérit dangereusement. On l'hospitalise, mais rien n'y fait, elle se laisse glisser. Quand une lettre de Loïc arrive enfin. Il s'y excuse de l'avoir laissée sans nouvelle, y dit aller de ville en ville, vivre de petits boulots, et y fustige son père, qu'il tient pour responsable de leur petite vie étriquée qu'il a décidé de refuser à jamais. Rassurée, Lili se rétablit, sort de l'hôpital et part à la recherche de son frère. Ce qu'elle va découvrir dépasse l'entendement. (Cinémotions)

Secrets de tournage:

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- L'adaptation d'un roman. Je vais bien, ne t'en fais pas est l'adaptation du roman homonyme d'Olivier Adam, disponible aux éditions Le Dilettante. Un Olivier Adam qui a participé activement à ce passage sur grand écran, puisqu'il est scénariste du long-métrage aux côtés du réalisateur Philippe Lioret.

- Simplement humain... Le réalisateur Philippe Lioret explique ce qu'il a voulu transmettre avec Je vais bien, ne t'en fais pas: "Le livre d'Olivier Adam est beaucoup plus noir que le film, mais j'y ai trouvé matière à quelque chose d'humain, simplement, profondément, et aussi la possibilité de mettre en scène des personnages qui pourraient être nos parents, nos frères et nos soeurs. À travers l'histoire qu'il raconte, Je vais bien, ne t'en fais pas révèle les sentiments extraordinaires de gens simples. Il parle aussi de la difficulté qu'on a tous à se dire qu'on s'aime, par pudeur, timidité ou parfois manque de générosité. Je me rends compte aujourd'hui que tous mes films, chacun à leur façon, ne parlent que de ça. Par ailleurs, derrière le portrait de cette famille, l'histoire d'Olivier vous tient en haleine à la manière d'un thriller et vous révèle finalement une dimension inattendue."

- Le casse-tête de Lioret. Philippe Lioret revient sur l'après-découverte du livre d'Olivier Adam : "Le sujet m'emballait, mais, traité de façon très littéraire, je ne voyais pas le film qu'on pouvait en tirer. Pourtant, les semaines qui ont suivi, je n'ai cessé d'y penser et ai passé le plus clair de mon temps à imaginer l'histoire à ma façon. En voiture, dans mon lit, sous la douche, j'ai démonté entièrement le livre et essayé d'en reconstruire le film. Un soir, à table, j'ai raconté à Marie, ma femme, l'histoire telle que je la voyais, et c'est sa réaction qui a été le véritable déclencheur du projet. Elle était si emballée que ça a balayé mes dernières hésitations."

- Le coup de foudre de Mélanie. Mélanie Laurent, l'actrice principale de Je vais bien, ne t'en fais pas, revient sur sa découverte pleine démotion du scénario : "Au moment où j'ai rencontré Philippe Lioret, j'étais sur le point de faire un autre film, et à l'instant où il me parlait du rôle de cette jeune fille qui va, entre autres, traverser une période d'anorexie, j'étais en train d'avaler un énorme macaron au chocolat... J'ai hésité à lire le scénario car je craignais de me retrouver coincée s'il me plaisait. Je l'ai quand même lu... et j'ai pleuré. Jamais un scénario ne m'avait bouleversée à ce point. Je ne pouvais pas passer à côté d'un tel film. Le lendemain, j'ai parlé de tout ce que j'avais ressenti à Philippe. Il était très ému et m'a juste dit "Lili, c'est toi !" sans même me faire passer d'essai ! C'était une belle marque de confiance."

- L'illumination Mélanie Laurent. Philippe Lioret, au sujet de Mélanie Laurent, son actrice vedette : "Lili tient le film de bout en bout. je m'apprêtais donc à un casting long et douloureux comme quand j'ai rencontré Mélanie Laurent. (...) Je n'ai pas eu le temps de rencontrer d'autres comédiennes car elle s'est imposée tout de suite. Dès la première rencontre, j'ai été séduit par son intelligence, sa vivacité et la petite flamme qui brille en elle, et je lui ai donné le scénario. (...) Elle m'a parlé de Lili avec une telle précision qu'il était évident que le personnage trouvait déjà un véritable écho en elle. La messe était dite, il m'était impossible d'imaginer quelqu'un d'autre. Elle me faisait confiance, alors j'ai décidé de faire de même et de ne pas lui faire passer d'essais. Sur le tournage, pour elle, ça n'a pas été rose tous les jours. Le rôle était difficile, même physiquement, et j'étais particulièrement exigeant, voir plus... Au bout du compte, ce qu'elle a donné au film est impressionnant. C'est une actrice immense, doublée d'une très belle personne."

- Défendre l'esprit adolescent. Avec Je vais bien, ne t'en fais pas, la comédienne Mélanie Laurent s'est vue offrir l'opportunité de rendre hommage une dernière fois à une période charnière de l'existence. "Je n'ai que vingt-trois ans, mais j'ai eu l'impression que c'était la dernière fois qu'il m'était possible de jouer un rôle de jeune fille et de défendre l'esprit de l'adolescence", explique-t-elle. Et de poursuivre sur son personnage : "Comme j'ai eu une enfance heureuse, et que je m'entends bien avec mes parents, je n'ai pas eu de mal à imaginer Lili assez vive, légère. Pourtant, dès le début du film, elle est obsédée par l'absence de son frère. On imagine sans peine ses liens très forts avec son jumeau. Elle vit un drame, brutalement privée de l'un de ses repères fondamentaux. Elle en est déstabilisée au point de se perdre. Elle veut aussi comprendre ce qui s'est réellement passé entre son père et Loïc."

- Bande originale. Le groupe qui a composé la chanson phare de Je vais bien, ne t'en fais pas, intitulée U-Turn (Lili dans le film), s'appelle Aaron. Leur premier album doit sortir en septembre 2006. Le chanteur d'Aaron, Simon Buret, fait une apparition dans le long-métrage avec le rôle du musicien qui remet la cassette à Mélanie Laurent.

AMG SYNOPSIS: The unexpected disappearance of her troubled brother causes a nineteen year-old girl intense emotional distress as French filmmaker Philippe Lioret collaborates with author Oliver Adam to adapt Adam's popular novel for the screen. Upon returning from Barcelona after spending the summer with new friends Lea (Aissa Maiga) and Thomas (Julien Boisselier), Lily (Melanie Laurent) discovers that her twin brother Loic (Mickael Trodoux) has fled the family home following a particularly intense confrontation with family patriarch Paul (Kad Merad). When Loic fails to return Lily's increasingly desperate calls and her parents continually fail to explain the reasoning behind her brother's flight, the troubled girl lapses into an alarming emotional malaise in which she is unable to eat or sleep. Her health rapidly failing, Lily is admitted into a local hospital where she languishes until a letter arrives from her brother condemning the pair's father for ruining their lives. Upon recovering from her malady Lily sets out to locate her brother. It is a quest that will not only provide Lily with a better understanding of her faltering family dynamics, but set her down the path to womanhood as well. -- Jason Buchanan

Vargtimmen, en Filmaffinity, escribió:Lioret ha hecho un film notable centrado como hemos visto en otros films como "Saraband" de Bergman en una ausencia, en un personaje al que no hemos visto pero cuya desaparición trastorna la vida de unos personajes, en este caso una pequeña familia y un reducido grupo de amigos de Lili. Cuando ella vuelve de una estancia de estudiante de un mes en Barcelona se encuentra que su hermano Loic ha abandonado a sus padres y no da señales de vida por ningún lado. Construida en base a un realismo con contadas licencias poéticas de hermoso calado y centrado en el personaje de Lili "Je vais bien ne t'en fais pas" es un estudio sobre la familia, la comunicación, los mecanismos que mueven los afectos y las herramientas que tenemos para protegernos del dolor y la muerte. Sobrio, contenido, bien realizado e interpretado es una película recomendable incluso para los que huyen por lo general del cine francés porque al final deja un poso inevitable de emoción cinematográfica, un quiebro realmente inquietante y humano.

Biografía del director. Nacido en París en 1955. Sus comienzos en el cine tienen lugar en la década de los ochenta como ingeniero de sonido, labor que llevó a cabo al lado de directores como Michel Deville o Robert Altman. Tombés du ciel (1993), su ópera prima como realizador, cosecha premios al Mejor Guión y a la Mejor Dirección en el Festival de San Sebastián. En los años venideros su carrera como cineasta será reconocida por la Academia Francesa, que concede dos premios César a los actores de su film Je vais bien, ne t’en fais pas (2006), así como nominaciones al Mejor Guión, Dirección y Película. Su último largo hasta la fecha, Welcome, resultó galardonado durante la edición de 2009 del Festival de Berlín. (Festival Internacional de Cine de Gijón)

Argumento: Olivier Adam (teatro).
Guión: Olivier Adam, Philippe Lioret.
Fotografía: Sascha Wernik (Color).
Música: Nicola Piovani / Canciones: Simon Buret ('Lili', 'Mister K').
Producción: Christophe Rossignon, Philippe Boëffard, Ève Machue.
Productora: Nord-Ouest Productions / Studio Canal / France 3 Cinéma / Fin Août Productions.

• Mélanie Laurent (Lili).
• Kad Merad (Paul).
• Julien Boisselier (Thomas).
• Isabelle Renauld (Isabelle).
• Aïssa Maïga (Léa).
• Simon Buret (l'ami de Loïc).
• Christophe Rossignon (le professeur du couloir).
• Eric Hérson-Macarel (le premier professeur).
• Thierry Lavat (le second professeur).
• Emmanuel Courcol (le médecin de Vigneux).
• Martine Chevallier (la première infirmière).
• Marie-Flore Limal (la voisine de chambre de Lili).
• Jean-Yves Gautier (le médecin chef).
• Nathalie Besançon (la seconde infirmière).
• Thibault de Montalembert (le psychiatre).

- 2006: Premios César: 2 premios. 5 nominaciones incluyendo a Mejor película

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** StudioCanal (2011) / 2.35:1 **
BluRay.com

Datos técnicos:
** HD 720p VO+SFr/SI/SRus / AAC / 1280x546 (2.344) / 96 m. / 24 fps **
** IMDb AR 2.35:1 **

Código: Seleccionar todo

Dont.Worry.Im.Fine.2006.720p.BluRay.DTS.x264-SbR [PublicHD]
Length..............: 1h 36mn
Video...............: 1280x546 (X264 @ 24.000fps)
Bitrate.............: 9948Kbps
Audio...............: AAC
Language............: French English Russian
Subtitles...........: French

Enlace torrent magnético [6.68 Gb]

Dont.Worry.Im.Fine.2006.720p.BluRay.DTS.x264-SbR [PublicHD] [6.68 Gb] (fuente)

Subtítulos: español americano (subdivx) (de Argenteam; modificados y sincronizados por cFerx) / inglés (opensubtitles) / El contenedor mkv incluye subs en francés, inglés y ruso.

 Je.Vais.Bien.Ne.T.En.Fais.Pas.2006.BD.MiniSD-TLF.mkv  [581.58 Mb]

Subtítulos: castellano (emule) (en castellano europeo con algunos giros americanos de vozidar, corregidos y resincronizados para el BDRip, que también ajustan con el 720p.) / El contenedor mkv incluye subs en inglés y chino.

Familias: El pequeño fugitivo (Ray Ashley, Morris Engel, Ruth Orkin, 1953) / Cuentos de Tokio (Yasujirô Ozu, 1953) / Buenos días (Yasujirô Ozu, 1959) / The Housemaid (Kim Ki-Young, 1960) / La gran ciudad (Satyajit Ray, 1963) / Intento de asesinato (Shôhei Imamura, 1964) / La esposa solitaria (Satyajit Ray, 1964) / El árido verano (Metin Erksan, 1964) / Padre patrón (Paolo & Vittorio Taviani, 1977) / El largo día acaba (Terence Davies, 1992) / Café irlandés (Stephen Frears, 1993) / La boda del Monzón (Mira Nair, 2001) / A propósito de Schmidt (Alexander Payne, 2002) / En América (Jim Sheridan, 2002) / Cuscús (Abdellatif Kechiche, 2007) / Pozos de ambición (Paul Thomas Anderson, 2007) / Still Walking (Hirokazu Koreeda, 2008) / No te preocupes, estoy bien (Philippe Lioret, 2006) / Looking for Eric (Ken Loach, 2009)

Una vida mejor (Chris Weitz, 2011) / A cualquier precio (Ramin Bahrani, 2012) / Nebraska (Alexander Payne, 2013) / Brother's Keeper (Joe Berlinger, Bruce Sinofsky, 1992) / Capturing the Friedmans (Andrew Jarecki, 2003) / El apartamento (Arnon Goldfinger, 2011) / Stories We Tell (Sarah Polley, 2012)

Welcome (Philippe Lioret, 2009)